De retour après les vacances

Bonjour à tous. Désolé pour l’absence mais j’étais en vacances à l’île Maurice. 🙂

Franchement, le pays est super beau et la population très sympa. J’ai eu la chance de vivre chez des Mauriciens. Ils nous ont fait découvrir le pays, dans des coins pas du tout touristiques mais qui ne manquent pas de charmes, bien au contraire.

L’île Maurice est un pays indépendant depuis 1968, sa capitale est Port Louis. La population est 1,2 millions d’habitants. L’île principale de la République Mauricienne est l’île Maurice.
Les habitants parlent le français, l’anglais (langue administrative), et quasiment tous parlent aussi le créole mauricien. Ensuite suivant les ethnies parlent aussi indiens ou arabes.
La monnaie est le roupie. 1€ vaut environ 40Rs.

Ce qui est vraiment agréable là-bas, c’est la tolérance des habitants entre eux. Sur l’île sont présents, en majorité, des chrétiens (protestants et catholiques), des hindous et des musulmans.
On trouve des églises qui font face à des mosquées et des temples hindous sans que ça ne pose de soucis. Les temples hindous sont vraiment magnifiques, avec des mélanges de couleurs superbes.


Un autre temple :

Les habitants sont débrouillards dans l’ensemble. Beaucoup n’hésitent pas à construire eux-même leur maison, et le résultat n’a rien à envier à nos constructions. C’est marrant de voir une maison habitée avec des parpaings sur le toit (plat pour la majorité des maisons) car les résidents commencent à faire un étage.

Nous avons gouté aux plats locaux qui sont succulents et pas chers du tout. En moyenne, on peut manger pour 80Rs soit 2€.
Même si les restaurants ne payent pas de mine vu de l’extérieur, la nourriture y est bonne. Après, je dois avouer que je n’ai pas un estomac fragile non plus. 🙂

Nous avons eu la chance de pouvoir faire un baptême de plonger ainsi que de la nage libre sur la barrière de corail.

Durant une sortie de pêche en bateau, des dauphins sont venus nous voir et nager devant le bateau. C’était un spectacle sublime.

Nous avons visité le musée du sucre : l’aventure du sucre. Le musée est dans une ancienne usine sucrière. Je crois avoir jamais visité un musée aussi complet : il parle de l’arrivé des premiers hommes sur l’île (les Hollandais) jusqu’à un peu avant l’indépendance. Puis, on rentre dans le sujet de la canne à sucre et son traitement pour en faire du sucre. On finit par la préservation de l’espace marin et la sauvegarde de la planète. En gros, en 3heures on n’a pas eu le temps de tout voir. Si vous voulez tout lire, il faut arriver à l’ouverture et prévoir la journée.
Une des machines servant à récupérer le sucre à partir de la canne à sucre :

Nous avons aussi visité le jardin pamplemousse. Ce jardin est vraiment beau. Il est connu pour ses étangs de nénuphars (qui sont en train de disparaitre à cause d’escargots 🙁 ).



Mais croire qu’il n’y a que les nénuphars à voir serait une erreur. Nous y croisons des arbres plus impressionnants et beaux les uns que les autres.

Nous sommes aussi allés à Casela. Il s’agit d’un parc où on y voit les différentes espèces d’animaux de Maurice, mais aussi d’autres pays d’Afrique ainsi que d’Asie et d’Amérique du Sud. Pour 3800Rs (soit quasiment 100€) vous pouvez aussi marcher avec les lions. On aurait vraiment marcher avec les lions mais on n’a pas eu le temps.

Ca ne se voit peut-être pas sur la photo, mais cette tortue fait environ 50cm de haut, et doit peser dans les 200Kg.

Comme vous pouvez vous y attendre, j’ai passé de super vacances, et là je n’ai mis que quelques-unes de nombreuses photos que j’ai (on a fait plus de 1 400 photos et films soit quasiment 10Go de souvenir). En conclusion, je vous conseille d’y aller si vous le pouvez. 🙂

Hacker : le vrai du faux

J’entends beaucoup de monde, même parmi mes amis, dire un peu n’importe quoi sur les hacker et le hacking. Aussi, j’ai voulu écrire cet article pour éclaircir ce qu’est un hacker.

Un hacker est quelqu’un qui s’amuse à détourner un objet de sa fonction principale. Wikipédia donne la définition suivante : « Hacker » est un mot d’origine angloaméricaine. Dans son sens général, un hacker est quelqu’un qui aime comprendre le fonctionnement d’un mécanisme, afin de pouvoir le bidouiller pour le détourner de son fonctionnement originel. Appliqué à l’informatique, un hacker sait où comment bidouiller un programme pour en faire ce qu’il veut.
Donc, malgré ce que nous font croire nos politiciens et les médias, un hacker n’est pas toujours un psychopathe cherchant à détruire les sites web par tous les moyens. 🙂
Par exemple, un hacker est une personne qui va utiliser des pièces d’un micro-onde pour les utiliser sur un robot. Rien de bien méchant, ni d’illégal
Mais, il faut quand même distinguer deux types de hackers : les black hats et les white hats.

Les white hats sont des hackers qui vont chercher des failles dans les serveurs ou les applications web et prévenir les administrateurs sans dérober de données. Ils peuvent faire ça dans le cadre de leur travail (experts en sécurité) ou pour le plaisir.

Les black hats vont chercher eux aussi des failles mais pour les exploiter à leur profit. Ils pourront ainsi dérober des données, et s’en servir pour lancer une attaque de plus grande envergure ou même les revendre. Par exemple, des black hats peuvent très bien attaquer les serveurs d’un sous traitant d’une entreprise afin de dérober des données (nom de contact, adresse mail, etc) afin de se faire passer pour le sous-traitant auprès de l’entreprise et ainsi avoir accès à des secrets.

Il existe un dernier groupe : les scripts kiddies. Il ne s’agit pas de hacker, mais juste de personnes (le plus souvent des adolescents) qui n’ont pas de connaissances techniques particulières. Ils s’amusent à attaquer un serveur ou une application via un logiciel déjà tout fait.
L’exemple le plus connu de script kiddies sont les Anonymous. La plus part d’entres eux ne connaissent rien aux techniques d’attaques informatique et ne font que se servir du logiciel LOIC (ça ne change pas qu’ils peuvent se battre pour une cause qui leur semble juste).

Il faut arrêter de croire que tous les hackers sont méchants et se rappeler que c’est grâce aux hackers que nous avons de formidables avancées technologiques (Internet, PC, etc).
Je vous conseille le très bon documentaire sur les hackers : PIRAT@GE le documentaire sur les Hackers. Vous pouvez trouver un visionnage ici.

Owncloud et Android : synchronisation des contacts

Dans ce troisième volet d’onwcloud, je vous parlerai de la synchronisation des contacts entre owncloud et android.

Pour cela, il va falloir deux applications : la première est carddav-sync, et le seconde Contact Editor. Contrairement à Caldav-sync, ces deux applications sont disponibles en version gratuites.
La première va servir à synchroniser les contacts, et la seconde à pouvoir les éditer

La synchronisation avec carddav-sync

Lorsque l’application est installée, l’ajout d’un nouveau compte ressemble énormément à celui sous caldav-sync.

Je vous conseille de modifier le « Device’s date format » pour dd/mm/yyyy au lieu de yyyy/mm/dd (sauf à priori pour ceux qui ont le galaxy S3).
Ensuite, il faut cliquer sur « Add new account ».

La page suivante est identique à celle de caldav-sync :

Dans le premier champ, il faut renseigner l’url du serveur d’owncloud. Cette url est du type http://ip-ou-url-owncloud/remote.php/carddav. On trouve l’url exacte dans la partie « Personnel » sur la version web de votre owncloud.
Si on renseigne http, « Use SSL » se décochera automatiquement.
Ensuite, il faut renseigner son login et son mot de passe, comme pour caldav-sync.

La page suivante va afficher un champ « Account name » qui correspond au nom de votre carnet d’adresse d’owncloud. Par défaut, le nom est bon et donc vous n’avez pas besoin de le modifier.

Je vous conseille dans un premier temps de laisser coché « Sync from server to phone only ». Pas de panique, je vais vous expliquer pourquoi ensuite.

Maintenant, allez sur votre application de Contacts, cliquez sur « Menu » et sur « Importer/Exporter ». Là, cliquez sur « Exporter vers la carte SD ». Suivant les versions des smartphones, soit par défaut ça va exporter tous vos contacts soit ça va vous demander de choisir un compte de contacts à exporter. Si c’est le deuxième choix, il faudra refaire la manipulation pour tous vos comptes, afin d’exporter tous vos contacts.
A la racine de votre carte SD, vous allez avoir un ou plusieurs fichiers en vcf.

Allez sur votre site d’owncloud, onglet « Contacts » (1), et cliquez sur Paramètres (2) et « Importer depuis VCF »(3).

Sélectionnez le fichier vcf (ou les uns après les autres) présent à la racine de votre carte SD. Ainsi, les contacts vont être importés sur owncloud.
Alors, pour ceux qui se posent la question : Non, le téléphone n’aurait pas pu envoyer vos contacts directement vers owncloud. Android crée un carnet d’adresse par contact, donc votre téléphone n’aurait pas su que chaque carnet d’Android devait finir sur le carnet « Default » d’owncloud.

Allez sur le bureau du téléphone (l’accueil si vous préférez), cliquer sur Menu => Paramètres => Compte et synchro => Default (si vous n’avez pas changé le nom du carnet par défaut sous owncloud). Ensuite, faites une synchronisation.

Une fois la synchronisation faite (le petit symbole des flèches enchevêtrées aura disparu), allez sur l’application « Contacts », cliquez sur « Menu » et sur « Afficher » (ou Option d’Affichage suivant les smartphones). Là, décochez tous vos comptes et cochez celui de Default. Normalement, vous verrez tous vos contacts. Si c’est le cas, ça signifie que votre téléphone a récupéré tous les contacts d’owncloud. Sinon, refaites une synchronisation (au début ça peut galérer un peu, c’est normal, ça dépend des smartphones).

Maintenant, retournez sur « Default » présent dans « Comptes et synchro », cliquez sur « Edit account settings », et maintenant décochez « One-Way-Sync ». Ainsi, dès que vous ferez une modification soit sur onwcloud soit sur votre téléphone, les deux seront synchronisés.

Edition des contacts

Certes, c’est super on a synchronisé les contacts. Mais si vous avez essayé d’en modifier un, vous verrez que vous ne pouvez modifier que le nom et le prénom. En gros, on ne peut rien faire. C’est là qu’intervient, Contact Editor Free.

Une fois que vous avez installé Contact Editor Free, allez sur l’application Contact et essayez de modifier un de vos contacts. Là, vous avez le choix entre deux applications pour modifier votre contact, prenez Contact Editor Free. Tadaaaa ! Vous pouvez ajouter toutes les informations que vous le souhaitez.

Concernant la partie « Anniversaire » (dans « Plus », lorsque vous éditez un contact), si au début vous avez fait ce que je vous conseillai, c’est-à-dire mettre « Device’s date format » sous la forme dd/mm/yyy, vous noterez votre anniversaire sous cette forme (plutôt pratique puisqu’on y est habitué), sinon soit vous mettez tous vos anniversaires sous le format yyyy/mm/dd (format par défaut de « Device’s date format ») soit vous supprimez ce compte de synchronisation, et vous recommencez toute la synchronisation sans oublier de modifier « Device’s date format ». A vous de voir
Si vous vous trompez de format, lorsque votre téléphone et onwcloud seront synchronisé, la date sous ce dernier sera totalement erroné.

Donc, ça y est, les contacts de votre téléphone sont synchronisés avec votre serveur owncloud. Ce qui veut dire que vous n’avez plus besoin de garder la synchronisation des contacts avec Google (ou alors si vous préférez avoir plusieurs sauvegarde, si), et vous savez où ils sont : sur votre raspberry. 🙂
Dans le prochain article, on verra comment synchroniser des fichiers entre Android et Onwcloud.

Owncloud et Android : synchronisation du calendrier

La semaine dernière, je vous ai parlé d’owncloud sur un raspberry. Pour les absents, ou les têtes en l’air 🙂 , l’article est ici.
Aujourd’hui, je vous parlerais donc de la synchronisation avec votre smartphone sous Android. Je n’ai pas iPhone ni de BlackBerry dont je ne peux pas vous aider pour ces deux OS.

Synchronisation du calendrier

On va commencer par le plus simple : la synchronisation d’un calendrier non partagé.
Il faut télécharger caldav-sync. Il est payant, mais franchement j’ai eu beau chercher je n’ai pas trouvé une autre application qui fonctionne aussi bien.
Elle n’ajoute pas un nouveau calendrier ou widget, mais s’ajoute dans votre application de calendrier existante (sur pour le calendrier présent de base sous android et celui de HTC Sense).

Une fois l’application installée, il faut ajouter un nouveau compte de synchronisation : notre owncloud.
Pour cela, il faut cliquer sur « Create new account »

On a ensuite la page suivante :

Il faut renseigner l’url du serveur owncloud dans le premier champ. Vous pouvez mettre une url « normale » ou l’adresse ip directe de votre box si vous le souhaitez, dans les deux cas ça fonctionne.
L’url ressemblera à quelque chose comme ça : http://url-ou-ip-de-onwcloud/remote.php/caldav/ (l’url vous est indiquée dans la partie « Personnel » de votre interface web de owncloud).
Si votre url est du type http://, la boîte à cocher « Use SSL » se décochera automatiquement.
Ensuite, il nous reste à mettre le login et le mot de passe du compte owncloud.

Une fois cliqué sur « Next », caldav-sync va se connecter sur le serveur owncloud et si les informations renseignées sont correctes, nous avons la page suivante :

On sélectionne les calendriers qu’on veut synchroniser avec notre smartphone et on clique sur « Next ».
Petite aparté: si on a un calendrier partagé vers quelqu’un d’autre, on le verra ici et on pourra le synchroniser. C’est le calendrier partagé par l’autre personne qu’on ne verra pas.

La page suivante va indiqué le nom du compte qu’on a sur owncloud, en gros pas très intéressant. On peut le modifier, mais je ne sais pas si ça a des impacts ou non.
Par compte la boîte à cocher en dessous l’est plus. Si on garde cette boîte cochée, la synchronisation se fera que du serveur vers le téléphone. Si on la décoche, les modifications faites sur le téléphone se répercuteront sur le serveur (ce qui est là tout l’intérêt à mon avis).

Maintenant pour un calendrier que vous partagez avec quelqu’un. Actuellement, caldav-sync ne permettra pas à l’autre personne de voir votre calendrier partagé. La solution de contournement que j’ai trouvé est d’installer votre compte sur le téléphone de la personne et de ne synchroniser que le calendrier partagé. Avantage, ça fonctionne. Inconvénient : il faut avoir confiance dans la personne car rien ne l’empêchera, si elle veut, de récupérer aussi votre calendrier personnel. Sinon, il reste une autre méthode : on crée un compte bidon sur owncloud et on le synchronise sur les deux téléphones.

Par défaut, votre calendrier se synchronisera tous les jours. Vous pouvez modifier le temps entre deux synchronisations en allant depuis le bureau : menu => paramètres=> Comptes et synchro. Là, vous sélectionnez le compte caldav, vous cliquez sur « Edit account settings ».
Le bouton « Sync interval » vous permet de choisir entre 1 minute et 1 semaine (avec bien entendu différents choix entre ces deux valeurs). Perso, j’ai pris 30minutes entre deux synchronisation. Comme ça, si je mets quelque chose sur mon calendrier partagé, je sais qu’au maximum 1 heure après ma copine l’a sur son téléphone.

Dans le prochain article, je vous expliquerai comment on synchronise les contacts.

serveur owncloud sur un raspberry

Il y a quelques jours, je me suis amusé à installer un serveur owncloud (version 4) sur mon raspberry.
Il y a plusieurs raisons : la première : m’amuser tout simplement; la deuxième : je me demandais quoi faire sur mon raspberry pour commencer; et la troisième : j’ai ainsi mon système de calendrier hébergé sur mon environnement et non pas sur un serveur appartenant à Google ou autre.

Pour commencer à jouer avec mon raspberry, owncloud est bien : l’installation est facile à faire et le rendu final est plutôt sympa.

En plus, d’avoir un design assez sympa, les fonctionnalités sont pratiques : envoie de fichiers, lectures des photos et des vidéos (à vérifier pour les vidéos car je n’ai pas encore testé ça), présence d’un calendrier que l’on peut partager par personne et / ou par groupe d’utilisateur (par contre on partage tout le calendrier, donc ça nécessite d’avoir un calendrier perso et un partagé). Il comporte entre autre un éditeur latex (pareil, je n’ai pas eu le temps de tester) et je crois aussi un pour les fichiers odt (libreOffice et OpenOffice).

Comme je vous disais l’installation est facile à faire.
J’ai suivi le tutoriel présent sur Expert-Echange, mais plutôt que de prendre la version 3.0.3, j’ai prise la 4.0.7 (elle corrige des bugs de la 4.0). Et j’ai sauté la partie sur la clef usb, car ma carte sd possède, pour l’instant, assez de place pour pouvoir me passer d’une clef usb.
Au cas où, je vous mets ci-dessous les instructions d’installation :

How to install owncloud on your Raspberry pi with usb hdd

These instructions are based on installing Owncloud on your new raspberry pi connected with a usb HDD.

What do you need Part A?
A Raspberry Pi, model B.
A boot SD card for the Raspberry Pi.
A usb HDD
An Ethernet cable to connect to the local network

I used the Debain image http://www.raspberrypi.org/downloads

I am assuming that you have already setup your raspberry pi (http://elinux.org/RPi_Easy_SD_Card_Setup) and are able to connect it it and run commands.

I am also assuming that your USB hard-drive is /dev/sda1 when connected to your Raspberry pi.

In order to make a partition accessible to the file system, you need to use the Linux « mount » command, referencing the hardware (e.g., /dev/sda1) and a « mount point » in the file system, which is any empty directory, usually created for the purpose by the user. There is a canonical (i.e., standard) directory path where mount points are usually created: the /mnt directory. You can create a new directory under /mnt for each partition to be mounted, and it can be named anything you want as long as it doesn’t contain any spaces. You might want to name it to correspond to the drive’s physical characteristics, e.g., /mnt/sda1, or /mnt/120GB_USB_hard_disk.

Connect to device, once connected, to find devices attached type

sudo fdisk -l

(This Lists HDD devices connected the system)
My output is
—-
Disk /dev/mmcblk0: 7948 MB, 7948206080 bytes
4 heads, 32 sectors/track, 121280 cylinders
Units = cylinders of 128 * 512 = 65536 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x000ee283

Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/mmcblk0p1 17 1216 76800 c W95 FAT32 (LBA)
/dev/mmcblk0p2 1233 26672 1628160 83 Linux
/dev/mmcblk0p3 26689 29744 195584 82 Linux swap / Solaris
/dev/mmcblk0p4 29745 121280 5858304 b W95 FAT32

Disk /dev/sda: 160.0 GB, 160041885696 bytes
255 heads, 63 sectors/track, 19457 cylinders
Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x4796fc2a

Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sda1 1 19458 156288000 83 Linux

—–

To create Directory type

sudo mkdir /mnt/<>

(This creates a new directory for us)
Replace <> with your directory (with no <<>>)
Then you need to mount the hardware

sudo mount /dev/sda1 /mnt/<>

(Will mount the filesystem on /dev/sda1 which will be a USB drive)
replace sda1 with your device
replace <> with your directory (with no <<>>)

Ideally you want the raspberry pi to start mounted every time you start the system.

sudo nano /etc/profile

At the scroll to the bottom and add:

sudo mount /dev/sda1 /mnt/<>

replace sda1 with your device
replace <> with your directory (with no <<>>)

What do you need Part B?
All above

To install Owncloud

http://wwww.owncloud.org – Store your files, folders, contacts, photo galleries, calendars and more on a server of your choosing. Access that folder from your mobile device, your desktop, or a web browser. Sync Your Data, Keep your files, contacts, photo galleries, calendars and more synchronized amongst your devices. One folder, two folders and more – Share Your Data, Share your data with others, and give them access to your latest photo galleries, your calendar, your music, or anything else you want them to see. Share it publicly, or privately. It is your data, do what you want with it.

At time of this writing, the current version is v4, but this will not yet work with the debian OS for raspberry pi. But you can run the full V3 version.

Connect to device, once connected

sudo apt-get update && sudo apt-get upgrade
(takes 1 min approx)

sudo apt-get install apache2 php5 php5-json php5-gd php5-sqlite curl libcurl3 libcurl3-dev php5-curl php5-common php-xml-parser
(This installs Apache and all libraries required like php etc)

sudo apt-get install sqlite
(This installs SQL database engine)

sudo wget http://owncloud.org/releases/owncloud-3.0.3.tar.bz2
(This gets v3 of Owncloud)

(Moi, j’ai pris http://owncloud.org/releases/owncloud-4.0.7.tar.bz2)

sudo tar -xjf owncloud-3.0.3.tar.bz2
(This extracts the above file, and create a directory)

(du coup, comme vous vous en doutez, j’ai fait sudo tar -xjf owncloud-4.0.7.tar.bz2)

sudo cp -r owncloud /var/www
(This copies the Owncloud directory to webserver location)

chown -R www-data:www-data /var/www
(This provides webserver permissions for Owncloud folders)

(en lançant la commande telle qu’elle vous devriez avoir une erreur qui disparaît lorsqu’on enlève www-data:www-data)

sudo chown -R www-data:www-data <>
(This provide webserver permission for Owncloud usb folders)

(même remarque d’au dessus sur www-data:www-data)

replace <> with your directory (with no <<>>)

sudo service apache2 restart

Et voila, votre owncloud est fonctionnel sur votre raspberry. Par contre, il ne fonctionnera qu’en local ou en tapant votre ip externe (après avoir ouvert le port 80 pour l’ip interne du raspberry sur votre box). Bien sur, rien ne vous empêche d’acheter un nom de domaine et de le faire pointer sur votre ip externe. Ainsi vous aurez votre site en ligne « de façon propre ».

Dans un prochain article, je vous parlerais quelques unes des interactions possibles entre votre serveur owncloud et votre smartphone sous Android.